A propos


Ce site illustre en quelques photos la restauration de l'automobile héritée de mon père, une Mercedes-Benz 200 /8 essence de 1972, également désignée sous le terme « W115 », du nom de son châssis . Dans certaines zones géographiques, elle est aussi appelée «/8» (« barre huit » ou « stricht acht » en Allemagne ou encore « stroke eight » en Angleterre).
Ce site a été intégralement refondu et simplifié en mai 2025. Pour ceux qui ont connu la version précédente, en format blog, avec un contenu beaucoup plus riches et avec les procédures détaillées des travaux réalisés et les références des pièces, ou pour ceux qui aimeraient retrouver ces articles, rendez-vous sur la page documentation où vous pourrez me contacter pour recevoir gratuitement les articles archivés en format PDF (comptez plusieurs jours de délais !)
Sauf indications contraires, toutes les photos sont des clichés de ma W115 et sont soumises à la licence
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Remerciements
Cette restauration n'aurait pas été, et ne serait simplement pas possible...
Sans le soutien et l’aide de mon épouse, de ma fille et de mon fils !
Sans l’aide précieuse et les conseils avisés de Bernard,
Sans la générosité de Martine et Régis, et leurs bons cafés !
Sans les petits coups de pouce de Benjamin, François, Matteo, Raymond,
Sans les connaissances, les conseils, les échanges et la disponibilité de M.Fayaud.
Mon avis sur la restauration automobile
Ma conception de la restauration automobile ne se réduit pas à la partie purement mécanique, mais englobe aussi tous les travaux de recherche et d’exploration nécessaires et préliminaires avant de mettre les mains dans le cambouis – au sens propre du terme.
Parcourir le web, ou les bourses aux pièces détachées à la recherche de pièces, de littérature, de brochures techniques ou de bibelots commerciaux, rencontrer et partager avec d’autres passionnés : telle est aussi ma conception de la restauration automobile.
Restauration VS spéculation
J’aime l’idée qu’une restauration prenne du temps, et permette d’acquérir de nouvelles connaissances théoriques et un nouveau savoir-faire. J’aime aussi l’idée de partager des connaissances.
Avec beaucoup d’argent disponible, il est très facile de trouver une épave, de la déposer dans un garage spécialisé, de patienter 9 mois, et de récupérer une splendide 300 SL Gullwing flambant neuve… Cette conception de la restauration n’est pas la mienne. S’il s’agit souvent d’une passion sincère pour l’automobile, c’est aussi hélas souvent une démarche purement spéculative, nuisible à long terme car transformant ce qui pourrait être une passion financièrement abordable pour le commun des mortels en un hobby de clubistes fortunés. Pour ma part, je ne dispose pas de tels moyens financiers.
Une équation simple, mais pas toujours accessible
Je ne suis pas un professionnel de l’automobile. Mais toujours dans ma conception, le travail de restauration s’apparente à la mise en application d’une équation, dont les variables d’ajustement sont :
le temps,
l'argent,
l'espace physique disponible (des m2 et des m3 !).
Pour un particulier, il n’est pas toujours facile de réunir les 3 à la fois… Si l’un des trois est prédominant, les deux autres seront plus faciles à gérer. Chacun gère ces trois paramètres selon son propre contexte personnel. Certains démontent l’intégralité de leur automobile.
Dans mon cas – et peut être aussi par une certaine forme de déformation professionnelle – j’ai fait le choix de « saucissonner » mes travaux : identifier les priorités, éviter de démarrer trop de tâches en parallèle, ne pas s’éparpiller sur les nombreux détails à régler, et plus concrètement encore, s’efforcer de ne pas éparpiller les pièces du véhicule ! Pour les esprits curieux, j’ai décliné et adapté Kanban, méthode japonaise de gestion des flux et de l’encours de travail.




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